Vivien Koshka
Performeuse, Activiste
Langues : Allemand, anglais, russe, ukrainien
Taille : 164 cm
Silhouette : gracieuse et élégante
Poitrine : 95 A
Pointure : 37
Couleur des yeux : Onyx
Couleur des cheveux : Opium
Teinte de peau : Poudre d´iris
Parfum : Athalia, Parfums de Marly
Boisson favorite : Vin rouge Grand cru
Plat favori : des grignotines
Local fétiche: à Leipzig: Stadtpfeiffer, à Berlin: Oukan
La grâce se détache de l’obscurité. Une belle de nuit… Des boucles d’opium brun noir s’enroulent autour de la ligne sensible de sa nuque. Elle sent ta présence désirante. Vivien Koshka. Ses yeux noirs brillants comme des pierres de jais soutiennent ton regard. Sur les lèvres, le sourire sournois du demi-monde…
Vivien Koshka s’apparente à tendre chaton. Ses mouvements sont soyeux, étincelants. De sa voix poudrée, elle te murmure ce qu’elle veut. Elle ne te demande pas ce que tu désires. Elle ne pose pas de questions. Un brûlant secret entoure cette Ukrainienne à la volonté implacable. Il éveille le désir de sonder ses profondeurs afin de maîtriser l’émotion amère qu’elle provoque. L’invisible sévérité à laquelle elle s’est docilement soumise lui confère un raffinement dont elle joue à la perfection. Vivien Koshka est une étoile de revue. Elle chante, elle se dévoile, elle chevauche avec souplesse l’acier lisse d’une barre de pole dance. Toi, tu veux à tout prix être celui qui l’attend en coulisses après le spectacle.
Vivien Koshka à son propos :
Étrangère parmi les étrangers, j’ai su très tôt quel était le prix de l’appartenance. Voulais-je seulement le payer ? Dès l’internat, je savais que je n’étais pas une carriériste. J’évitais les redoutables séductions de l’opportunisme comme une chatte errante évite la mort aux rats. Ceux qui, comme moi, savent qu’ils peuvent s’en passer ne choisissent pas la reconnaissance du pouvoir au détriment des délices de la subversion. En un mot : Satisfaction. Si tu veux me comprendre, sache que je suis sans racines et sans appartenance. Est-ce seulement par ma faute que beaucoup de choses me semblent si simples ? Pourquoi devrais-je renoncer à lutter pour un monde dans lequel j’aurais toute ma place ? Mes pensées sont ma seule maison. L’activisme est mon seul foyer. Les battements de mon cœur mon unique rébellion. Je ne veux pas me reposer, c’est pour cette agitation que je suis née.