Dahlia Nyx
Il y a une fissure dans tout, c'est comme ça que la lumière entre. — Leonard Cohen DEMANDEMON CADEAUDahlia Nyx
Performeuse
Langues : Allemand, Anglais
Taille : 157 cm
Pointure : 38
Figure : petite et excitante
La couleur de la peau : blanc souterrain
Couleur des yeux : tigre
Couleur des cheveux : nuit noire
Parfum : Serge Lutens, Fils de joie
Boisson favorite : Chablis les Clos
Nourriture favorite : colanacées
Local fétiche: Cookies Cream
Une ombre brûlante. Dahlia Nyx est dans la pièce. Elle est subtile et farouche comme les courbes envoûtantes d’un hameçon tendu au bout d’un fil fin. La tentation vous tire vers les profondeurs, et Dahlia en est l’appât. Son corps sensuel fait l’effet d’un chant de sirène. Il y a la douce mélancolie de ses mouvements désinvoltes, et puis ce regard – celui d’yeux étrangement beaux et dangereusement hypnotiques. Ils vous scrutent sous un rideau de cils soyeux ces yeux d’animaux, ces yeux de biche, pétillants et sauvages, prêts à bondir. Ce sont les yeux d’une vraie nymphomane, noyés dans un océan de luxure impuissante. Cette prostituée enfant du vice et de l’infiniment obscène absorbe le monde de la galanterie avec une curiosité novice. La nymphomane trouve son destin sur un sinueux chemin nocturne éclairé de rouge. Sa lascivité innée, la promiscuité de son âme réceptive aux ondes profondes du pêché : Dahlia Nyx est née putain. L’hameçon a-t-il déjà profondément pénétré votre chair?
Dahlia Nyx à son propos.
Vous devez savoir que je n’ai pas d’histoire. Pas de famille, pas d’enfance. Je suis orpheline. Mon passé est mort. C’est l’obscurité d’où je suis venue vous rencontrer. L’obscurité dans laquelle je suis quand je suis seule et ne brûle pas pour vous.
J’aurais aimé grandir au bord d’une mer tiède ou d’un lac au milieu des bois. Je me sens chez moi dans les films de David Lynch. Le grand paradoxe de ma vie est celui de la morale à double tranchant et de l’autodétermination. Il n’y a pas d’alternative à la rébellion et l’attaque est la meilleure défense. J’attaque la réalité avec mon art, avec du rock psychédélique et du punk, avec ma nudité et mes danses lascives. Devant l’œil noir de la caméra, l’hypnose est à l’œuvre. Je suis le lapin blanc, je suis le serpent. Je suis dominatrice, je suis étudiante, je suis muse, et pourtant, je ne veux rien d’autre que jouer à la putain, qu’être une putain : une vraie création au beau milieu du jeu. Le jeu est la drogue et le sexe la scène sur laquelle je m’expose. C’est là que je brûle.